Imaginez que votre enfant retrouve sérénité et joie de vivre .
Aujourd'hui, il/elle se lève le matin, empli(e) de dynamisme, de positivité et d' insouciance , sans crainte du regard ou du jugement des autres.
Toutes ses interactions sociales (camarades, professeurs, amis, famille) sont embellies et il/elle se sent de nouveau à sa place au sein d'un groupe, capable d'apprécier et de prendre part aux discussions.
Vos relations sont apaisées et vous pouvez enfin réinstaurer la communication avec lui/elle. C'est le retour de votre complicité. Une nouvelle harmonie familiale s'installe.
Il/elle est capable de passer ses examenssereinement, confiant(e) en ses aptitudes et capacités.
Finis le mauvais sommeil, les crises d'angoisse, le stress et le dénigrement de lui/elle-même. Terminées les crises de larmes ! Fini l'isolement...
Votre enfant retrouve l'envie et la motivation. Envolée cette boule au ventre ou dans la gorge ! Sa confiance en lui/elle est reboostée. Son regard sur lui/elle change et une page se tourne !
Votre enfant souffre d' anxiété, de stress, de crises d'angoisse, de nervosité, de problèmes de concentration. Des maux de tête, des tensions ou douleurs musculaires sont de plus en plus fréquents.
Il/elle ne parvient pasà se reposer physiquement et àmettre son mentalau repos. Ses nuits sont peuplées de pensées récurrentes et de questions qui tournent en boucle, ou encorede cauchemars...
Passer à l'action pour ses examens et/ou dans sa vie quotidienne, est une épreuve pour lui/elle.
Sa confiance en lui/elle est inexistante, il/elle ressasse en permanence. Vous aimeriez qu'il/elle arrête de se comparer aux autres, en se dénigrant à longueur de temps.
Il/elle s'isole, perd le goût des choses qu'il/elle aime faire. Il/elle pleure sans raison particulière. Il/elle est à fleur de peau sans arrêt et prend tout de travers...
Toutes ses relations (amicales, familliales) sont tendues. Tout devient source de conflit et le dialogue semble être réellement rompu.
La plupart du temps votre jeune a l'impression que son entourage ne le/la comprend pas ou minimise ce qu'il/elle ressent. Il/elle est persuadé(e) que personne ne peut l'aider.
I l/elle hésite donc à demander de l'aide , de peur d'être montré(e) du doigt. De plus, un sentiment de honte l'habite, celui de n'être pas "comme tout le monde".
Se tourner vers ses parents n'est vraiment pas simple. Un œil et une oreille extérieure sont alors les bienvenus .
Rassurez-vous, non, il/elle n'est pas seul(e) ! La sophrologie est une de ces aides ! Grâce à elle, votre jeune ira mieux.
Je suis la boussole bienveillante qui montre le chemin mais c'est la personne qui œuvre pour retrouvrer son équilibre mental et son bien-être.
Je suis Pascale, sophrologue à la Simarde, proche d'Angoulême.
La Sophrologie est un outil merveilleux pour aider à retrouver un équilibre mental et émotionnel. Un accord entre le corps et l'esprit.
Lors de phases de stress intense ou d'anxiété, ou pendant des crises d'angoisse, l'inconscient met en place des mécanismes de défense pour tenter de gérer les émotions et la surcharge mentale.
Ceux-ci permettent temporairement de continuer à fonctionner "normalement" mais peuvent empirer la situation, installant un réel épuisement émotionnel sur le long terme.
D'où l'importance d'être attentif(ve) aux signaux corporels et mentaux avant que les choses ne s'aggravent.
Je sais exactement ce par quoi votre jeune passe, car je suis moi-même la maman d'un jeune hypersensible (HPE et neuro-atypique), habitué aux crises d'angoisses, au débordement émotionnel, souvent accompagné par des crises de larmes et de panique.
La sophrologie fut sa bouée de sauvetage, notamment durant ses classes de 1ère et de terminale et plus particulièrement durant la période des examens et de son permis de conduire (tout en même temps, l'année du Bac !). Aujourd'hui, j'ai à coeurd’aider tous les jeunes qui souhaitent retrouver une vie plus apaisée, plus sereine.
Si vous le souhaitez, prenez contact avec moi par téléphone et discutons en amont de ce que votre adolescent(e) vit, afin de vous assurer que je suis la personne qui lui conviendra dans un accompagnement. (À partir de 12 ans).